C’est la question que se pose l’éditorialiste du "Financial Times", avant de souligner que les événements, tels qu’ils sont en cours, dans le monde arabe, sont loin de profiter à Israël. "En septembre, Israël risque de subir un revers de taille, à l’ONU, et qui peut prédire que ce revers ne finisse pas par jeter dans les rues de Tel-Aviv les opposants à la ligne dure défendue par Netanyahu ? Pire, ces manifestants pourraient être même des Palestiniens cherchant à imiter l’élan de leurs frères d’Egypte, manifesté, un certain février 2011, sur la place Al-Tahrir ?