Pure spéculation et objet de paranoïa non contrôlée. Imaginons le pire : que cette bactérie fasse partie d’un arsenal bactériologique militaire de la guerre froide et se soit échappée de son container pas si hautement sécurisé que cela, de façon accidentelle et fortuite ou, restons parano, de façon criminelle à des fins dont ont ne peut imaginer le scénario.
Avertissement : le contenu de cet article est purement imaginatif
« On » lance la bactérie manipulée sur le marché avec un vecteur type concombre ou saucisse de foie de porc et on attend de voir les effets, test grandeur nature en consignant les résultats pour une prochaine opération.
Autre spéculation, une attaque de nature terrorisme avec un chantage à la clef du type versement d’une méga rançon ou d’un retrait de troupes du Pakistan contre l’antibiotique qui aura été fabriqué en même temps que la bactérie mutante il y a dix, vingt ou trente ans dans un laboratoire occidental ou soviétique.
Cette bactérie remplit les hôpitaux au point de les désorganiser et nous ne sommes que sur un phénomène de faible envergure, imaginons une attaque massive… Quoi qu’il en soit, la bactérie est une mutante et imaginer qu’elle ait pu être trafiquée par l’homme n’est pas une idiotie, la guerre bactériologique est enseignée tant à West-Point qu’à Saint-Cyr et toutes les saloperies s’y rapportant font partie de procédures bien réelles.
La réalité, c’est que la bactérie tueuse a choisi un seul territoire pour se développer et que nous ignorons la façon dont elle se propage et avec quel vecteur et excipient. Toutes les hypothèses sont à prendre en compte.
Ultime hypothèse : il s’agirait d’une opération de « démonstration », de test grandeur nature à des fins expérimentales pour éprouver nos structures organisationnelles sans que nous puissions identifier le commanditaire.
N’oublions pas que nous avons fabriqué, stocké, enveloppé des tonnes de produits bactériologiques dans des ogives avec intention de les envoyer par dessus nos têtes dans les villes dites ennemies avec les mêmes intentions que nous avons balancé, au moyen-âge, au dessus des murailles des cités assiégées, des cadavres d’animaux pourris afin d’inoculer peste et autre choléra aux assiégés.
SOURCE :armees .com[notre temps,notre monde]