Régime alimentaire durant le ramadhan

Comment faire pour perdre du poids durant le Ramadhan?

Je me rends compte que cela va faire une semaine de jeûne et que je ne rentre plus dans certains habits déjà!!

Achou Guenzetien?, normalement c'est l'effet invers ...
alors on lance S O S - urgence REGIME ALIMENTAIRE, sinon pendant ces 30 jours, il te faut LA GANDOURA XXXXL !!!

Une solution :

Tu prépares toi même leftour, crois que c'est efficace
Une fois à table tu ne mangeras que la moitié de la quantité habituelle.

GUENZETIEN a écrit:

Comment faire pour perdre du poids durant le Ramadhan?

Je me rends compte que cela va faire une semaine de jeûne et que je ne rentre plus dans certains habits déjà!!

et moi qui entrain de chercher une bonne recette de plats a deguster ensemble au ftor(virtuel)a l'occasion de ton anniversaire!!!........azigh,tu as pris du poids...la tu m'etonne GUENZETIEN.....la proposition de Rima est excellente,
He he he GUENZETIEN,quartier libre aujourd'hui, ajak gue regime alimentaire
et a l'occasion de ton anniversaire je te souhaite sahha dh lehna..et comme BONUS UN:...bqlawa turc...c'est peu!!!!! hakh arnu a GUENZETIEN....AVANT DE PASSER AU REGIME REGALE TOI.......UN JOYEUX ANNIVERSAIRE ET SAHA L'FATTORIK.

Je n'ai pas lu ta proposition Missnechrea
Thaqendourth oui c'est une solution surtout que l'ambiance du mois s'y prête:)

Ces aliments qui dopent le moral
Les chercheurs en nutrition décortiquent notre alimentation et trouvent de plus en plus d’éléments qui influent sur notre humeur. Démonstration :
D’où nous vient cette irrépressible envie de manger en permanence du gras, du chaud, du sucré ? de la dépression saisonnière, évidemment ! ce gros coup de bleue de l’hiver bien connu des spécialistes. Et que faisons-nous quand ça ne va pas ? On grignote, ou on engloutit des tonnes de nourriture. Au lieu de s’alléger, notre moral se retrouve plombé. Notre balance itou et on déprime encore plus.
Pourtant la nourriture peut être un savoureux moyen de retrouver joie de vivre, tonus et optimisme. La plaquette de chocolat remonte le moral ? Instinctivement on l’a toujours su. Maintenant les chercheurs, en nutrition sont capable de nous expliquer pourquoi : la présence salsolinol aurait un effet antidépresseur ; de même la caféine a une action stimulante, l’anadamide se fixe sur les récepteurs aux cannabinoïdes et déclenche l’euphorie. La recherche en nutrition décortique tout ce que nous avalons. Et déjà les chercheurs ont découvert le rôle essentiel de trois substances »magiques » qui, enfouies dans notre organisme, ont besoin d’aliments pour s’activer et nous maintenir en forme.

Les trois messagers contre la hargne, le stress, la déprime.
Certains composants des aliments envoient des messages au cerveau via les neurotransmetteurs, substances naturellement présentes dans l’organisme. Parmi la soixantaine de neurotransmetteurs découverts et étudiés, trois régulent nos états d’âme : la dopamine, qui joue un rôle de starter, la noradrénaline, qui sert d’accélérateur, et la sérotonine qui fait office de frein. Notre harmonie neurochimique dépend de l’équilibre entre ces trois messagers.

Aussi étrange que ça puisse paraitre, ils sont donc des indicateurs chimiques du bonheur. Quand le cerveau n’a pas assez de sérotonine, l’humeur se dégrade rapidement, allant parfois jusqu’à l’agressivité. Un manque de noradrénaline et c’est la voie ouverte à la mauvaise humeur, aux troubles du sommeil, au stress psychique et à la déprime. Quant à l’insuffisance de dopamine, elle se traduit par des difficultés de concentration et une perte de motivation.
La sérotonine favorise la détente, le bien être et le sommeil. Elle rend joyeux et équilibré, d’où son surnom d’ »hormone de la bonne humeur. On ne trouve pas de sérotonine ni de dopamine (ni aucune autre hormone d’ailleurs) dans la nourriture. En revanche, certains aliments, comme les féculents, contiennent du tryptophane, un acide animé précurseur de sérotonine. La clé de la franche rigolade se cacherait donc dans un plat de poisson accompagné de riz , dans un canard aux figues ou dans les sucreries, qui contiennent tous du précieux tryptophane.
Complice de la sérotonine, la noradrénaline stimule le cerveau, améliore la perception, augmente la motivation et l’énergie. Ce n’est pas tout, ce partenaire officiel de l’optimisme est également un antidépresseur naturel. Son précurseur est un autre acide aminé essentiel que l’organisme ne fabrique pas. On le trouve également dans l’alimentation : la L-tyrosine est présente notamment dans les œufs, les fruits de mer, le lait et le fromage.
La dopamine est surtout un stimulant du cœur et du métabolisme. Son travail consiste à mobiliser toutes les sources d’énergie du corps, afin de nous rendre actifs, énergique et émotionnellement stables. Son précurseur, la L-tyrosine, est le même que pour la noradrénaline. « celles qui en manquent sont repliées sur elles-mêmes , préoccupées, indécises, peu entreprenantes ».
Résume le Dr Chos de l’institut européen de micronutrition IEM qui traque les déséquilibres des neuromessagers. Il recoupe pour cela les informations qu’il recueille dans un questionnaire alimentaire, un questionnaire comportemental avec un bilan minéral, le BNAR - bilan nutritionnel antiradicalaire – fait à partir d’une prise de sang.

Du prozac dans l’assiette ? les nutriments n’ont pas fini de nous étonner.
On sait que la vitamine C a éradiqué le scorbut, que la vitamine D est venue à bout du rachitisme, que le calcium prévient l’ostéoporose et que le fer lutte contre l’anémie. Mais il reste des centaines de structures complexes à étudier, des nutriments nouveaux à répertorier, des dizaines d’implications sur la santé à démontrer. Pas un jour ne passe sans que ne soit publiée une étude concernant les effets des terpènes, polyphénols, flavonoïdes, caroténoïdes et autres sur la prévention des maladies cardiovasculaires, de l’obésité, ou de certains cancers.

Puisque la santé est aussi une affaire de nutrition, on attend des chercheurs qu’ils nous concoctent une alimentation bien choisie pour améliorer nos performances physiques et intellectuelles afin de caler une fois pour toutes, le baromètre de notre humeur sur beau fixe. Ce serait trop simple. Rien ne sert de se préparer une tambouille « bonne humeur » si on n’a pas d’abord identifié ses déficiences « on connait aujourd’hui les conséquences d’une carence sur le développement physique et cérébral » explique un spécialiste du cerveau. Une carence en fer affecte la concentration et la mémoire. Un manque de zinc, et l’odorat en prend un coup. Pas assez d’acide gras perturbe la vision. De même, sans sucre, adieu l’énergie, et sans sel, pas de bonne transmission nerveuse.
A contrario, on aurait beau se gaver d’épinards, on ne sera pas assez fort comme Popeye. La surconsommation d’un nutriment ne sert à rien si nos réserves sont à niveau. On risque seulement de déséquilibrer totalement notre alimentation. De toute façon, sauf cas rarissime, le corps élimine ce dont il n’a pas besoin. En fait, on a tendance à être attiré (sans le savoir) par des aliments qui renferment les substances dont nous avons besoin à un moment précis. Pour expliquer nos impulsions, psys et neurophysiologistes s’affrontent. Besoin physiologique ou recherche affective ?

Le pourquoi de nos envies. Pas simple de démêler physiologie et psychologie.
Pour les pays, la nourriture est aussi une réponse à un problème d’ordre psychologique et non plus un seul besoin physique. « la plupart du temps, l’attirance pour des aliments forts en gout et riches en graisses et en sucres s’explique, non pas parce que notre corps les exige mais parce que notre esprit les réclame pour gommer des pensées douloureuses, des émotions trop intenses ou des situations qu’on ne parvient pas à affronter ».explique le Dr Gérard Apfeldorfer, psychiatre spécialiste du comportement alimentaire. Mais, pour les chercheurs en nutrition, les attirances ont toujours une explication physiologique. Ce sont par exemple, les fameuses envies de fraises chez la femme enceinte. «la grossesse puise dans les réserves d’acide folique, les fraises en contiennent, d’où l’attirance pour ce fruit » explique le Dr Jean-Marie Bourre, qui dirige l’unité de neuro-pharmaco-nutrition à l’INSERM.

Plus troublante, cette expérience en laboratoire, menée sur des rats qui ont été carencés en zinc. On leur a fait choisir entre de l’eau nature et de l’eau acide, très mauvaise au gout, mais enrichie en zinc. Après une hésitation très brève, les rats se sont dirigés vers l’eau riche en zinc. « ce qui prouve qu’on a réussi à les attirer vers ce qu’ils n’aimaient pas » commente le Dr Apfeldorfer. Dans ce cas là, le besoin physiologique a pris le pas sur la préférence. Mais ce n’est pas toujours le cas, une autre expérience le montre. On a beaucoup parlé des ingrédients du chocolat, (magnésium, potassium, phosphore, polyphénols, etc.) qui, une fois assimilés par l’organisme, génèrent la détente et la bonne humeur. Cela expliquerait notre attirance pour le cacao. Or, quand on supprime tous les bons nutriments du chocolat et qu’on ne garde que l’odeur et le gout, « ça marche pareil » conclut malicieusement le Psy. Le plaisir est un bon pourvoyeur de bonne humeur.

Sucre et violence. Trop d’insuline nuit.
Le gras et le sucre seraient-ils générateurs de violence ? Des chercheurs américains ont montré qu’une consommation pléthorique et à toute heure de gâteaux, sodas ou milk-shakes mettait la glycémie (taux de sucre dans le sang) à plat. Résultat, on a faim, donc on se rue sur un aliment sucré journée. Le corps réagit à cet apport de sucre en envoyant de l’insuline. Mais l’insuline a ses heures. Elle est programmée avec quatre pics dans la journée. Un le matin très important, un à midi, un vers 18 heures plus faible, et un dernier le soir. Lorsqu’on la sollicite n’importe quand et trop fréquemment, elle perd le nord, monte en flèche pour redescendre aussitôt et c’est reparti pour une nouvelle hypoglycémie. Le taux de glycémie ayant une influence sur notre humeur, à force de jouer les montagnes russes, la machine se dérègle et commence à taper sur le système. Les parents deviennent hargneux, les enfants agressifs. Le grignotage, c’est mauvais pour la forme, mais finalement aussi pour le fond.

Le sens de l’humeur. Tout aliment est nourri de symboles.

« On ne mange pas uniquement pour se nourrir mais pour se réconforter, se faire plaisir. Un aliment ne se résume pas à une somme de nutriments », attaque le Dr Gérard Apfeldorfer. Les aliments ont du sens, celui qu’on leur donne et qui peut varier d’une culture à l’autre, selon les habitudes, les croyances, les religions. Déguster du signe ne fait pas partie de notre culture alimentaire, et les vertus nutritionnelles de la viande de porc ne pèsent pas lourd face à la conviction religieuse. « Avant toute chose, c’est le sens que l’on donne à ces aliments qui réconforte ou qui déprime, en particulier quand on transgresse un interdit », explique le psychiatre. On s’excuse mentalement d’avoir cédé à l’appel de la tartiflette à la montagne, un soir de février après une journée de ski, par moins 3 degrés, alors qu’on se sent mortifiée si l’événement se produit par une douce soirée d’avril. A l’inverse, une tranche de foie gras, qui évoque la fête, la rareté, l’exception, n’aura pas le même goût et ne produira pas le même effet si elle est avalée en solo devant la télé.
La nourriture de la bonne humeur a une riche valeur symbolique, souvent liée à un climat de joie, de bien-être, de la petite enfance, et qui tient les promesses qu’on a placées en elle. Sinon, c’est la frustration assurée. On avait une grand-mère absolument merveilleuse qui faisait divinement la tarte aux pommes ?
Aujourd’hui, quand on a besoin de réconfort, on éprouve (inconsciemment) une irrésistible envie de tarte aux pommes et on se précipite à la boulangerie du coin. Une tarte au goût trop industriel nous laisse avec un sentiment amer de « ce n’est pas ça ». Mais une tarte croustillante à l’ancienne nous met en joie. « La tarte aux pommes, c’est de l’amour qu’on avale », résume le psychiatre. Pas uniquement des vitamines, des fibres et des pectines.
Pour être de bon poil devant l’assiette, il faut des aliments non contaminés par des idées négatives, comme la peur de grossir ou la crainte d’un risque pour la santé. Comme cette nourriture du réconfort a tendance à être grasse et sucrée (on passe rarement ses nerfs, on soigne rarement sa déprime avec des brocolis vapeur), on adhère tout de suite à l’idée qu’il faut déculpabiliser pour profiter.
Le chocolat, une fois encore, est le bon exemple. Il est l’aliment déculpabilisant par excellence. Pour une bonne équation entre la nourriture et ses humeurs, il faut écouter ses envies et suivre ses désirs.

Ventre : le deuxième cerveau
Quand on a mal au ventre et que la médecine ne trouve pas de maladie pour l’expliquer, on dit : « c’est dans la tête, tout ça ». on a longtemps pensé que le cerveau, celui qui loge dans la boite crânienne, était responsable de ce qui se passait dans le ventre.
Par exemple, on a longtemps accusé le stress d’être générateur d’ulcère. Et si c’était le contraire ? Si nos maux de ventre étaient responsables de nos prises de tête ?
En d’autre termes, l’estomac, qui est connecté au cerveau via un système nerveux complexe, ne pourrait-il pas influencé notre humeur ?
Loin d’être farfelue, cette hypothèse émise par un chercheur de l’université de New York, Michael Gershon, semble convaincre de plus en plus de scientifiques.
Un exemple ? la sérotonine serait produite et utilisée par l’appareil digestif. Par sa structure et sa chimie, le ventre (en réalité, il faut parler de SNE ou Système Nerveux Entérique) agit comme un cerveau, en communication permanente avec la matière grise, capable de transmettre ses douleurs et ses émotions.
Le bien être, c’est l’équilibre harmonieux entre les deux. L’ulcère, dont on sait aujourd’hui qu’il est du à la présence en surnombre d’un germe appelé helicobacter, fait des trous dans l’estomac. A force, ça rend nerveux. « l’intestin quand il fonctionne mal, peut vous rendre dingue » . confirme le Dr Chos.

et il faut faire du sport

regime ou pas....el matlo3 el matlo3....