Festival de la musique et chanson kabyle à Bejaia

url=https://servimg.com/view/12783329/87][/url]En plus du colloque, il a été convenu de la projection du film sur la regrettée H’nifa. Rappelons que ce festival sera dédié à feu Farid Ali et aura deux parrains artistiques : Ben Mohamed et Kamel Hamadi.

Dans le cadre de la préparation du Festival de la musique et de la chanson kabyles, les deux commissaires du festival cité, Ahmed Aici, et celui du Festival culturel du film amazigh, Hachemi Assad, ont signé, le jeudi 21 août 2008 à la Maison de la culture de Béjaïa, une convention de partenariat. Cette convention a été signée exclusivement pour arrêter la liste des intervenants, conférenciers et modérateurs qui animeront le colloque intitulé “Regards croisés sur la chanson kabyle” qui aura lieu durant le Festival de la musique et de la chanson kabyles les 2 et 3 novembre 2008. Le festival, par contre, durera une semaine, du 1er au 6 novembre. En plus du colloque, il a été convenu de la projection du film sur la regrettée H’nifa. Rappelons que ce festival sera dédié à feu Farid Ali et aura deux parrains artistiques : Ben Mohamed et Kamel Hamadi. C’est ainsi que l’on apprend que le colloque sera animé par Farid Aït Ferroukh (anthropologue), Ramdane Rehib (linguiste), Mohand Akli Salhi (Docteur en littérature amazighe), Ali Sayad (Tanthropologue et chercheur), ainsi que d’autres personnalités dont la participation reste à confirmer à l’instar de Denise Brahimi (critique littéraire) et Camille Lacoste Dujardin (anthropologue et chercheur en patrimoine littéraire). Enfin, les principaux axes d’intervention durant ce colloque, qui aura lieu pendant le Festival de la musique et de la chanson kabyles, concerneront “La relation entre chant traditionnel et chanson” ; “La relation entre poésie et chanson” ; “Les caractéristiques des courants musicaux” ; “La thématique des chants” ; “Les conditions de production de la chanson, son impact social et son aspect économique” et enfin “L’interaction scène/salle mettant au jour une esthétique de la réception”.

Tarik Amirouchen