Monastir a tout l’air d’un fruit mûr qu’il ne resterait alors qu’à cueillir, mais gare tout de même à bien se tenir à table car un pépin c’est vite arrivé. Donc point d’exubérance à se voir trop beau au point de se croire capable de n’en faire qu’une bouchée de cet adversaire qui, lui, viendra avec les pieds bien sur terre, la tête sur les épaules soulagé de toute pression, à l’instar de celui qui n’a rien à perdre mais tout à gagner. Donc prudence, prudence et bonne chance ! Sportivement tikka.