D’aucuns seront, sans doute, étonnés de constater que le piment est parfois considéré comme un aliment à éviter ; d’autres reviendront
sur leur jugement, probablement dû à la difficulté de le doser et, peut-être, ils ne penseront plus que le piment est une épice trop pimentée pour être bienfaisante.Même les plus circonspects,c’est-à-dire ceux qui n’acceptent que des démonstrations scientifiques irréfutables,
seront favorablement étonnés par les propriétés équilibrantes, anti-infectieuses et révulsives du piment, que le poivre, une épice souvent utilisée à sa place en cuisine, ne possède pas.
Les miracles thérapeutiques du piment
Même s’il n’est pas un élixir d’éternelle jeunesse, le piment combat le vieillissement cellulaire. Celui-ci commence quand, avec le temps,
la tension et par conséquent l’oxygène diminuent dans nos cellules. Un effet de vasodilatation et d’oxygénation du sang est dû aux précieuses propriétés des vitamines PP et E contenues dans le piment. La vitamine PP est responsable de l’action des capillaires, tandis que la vitamine
E contribue à augmenter la quantité d’oxygène dans la circulation périphérique.En général, elles sont d’une importance fondamentale
pour l’activation de la circulation dans toutes les parties du corps, y compris pour la peau qui rajeunit.
L’utilisation du piment fait baisser le taux de cholestérol dans le sang, car ses graines, tout comme celle du soja,contiennent de la lécithine, un
acide gras non saturé qui sauvegarde l’élasticité et le volume de artères.
Bases
scientifiques
Plusieurs études ont été
conduites avec des piments
rouges. L’une des plus
récentes a été menée au
Japon auprès des coureurs
de fond de sexe masculin,
âgés de 18 à 23 ans.
Trente minutes après le
repas, le groupe qui avait
reçu 10 g de piments rouges
avec son repas, présentait
des taux sanguins d’adrénaline
et de noradrénaline supérieurs
à ceux relevés dans le
groupe qui avait été privé de
piment.
Le piment a aussi stimulé
l’oxydation des glucides, et,
incidemment, élevé le quotient
respiratoire.
Une autre étude, des
mêmes chercheurs japonais,
trouve aussi une augmentation
de l’utilisation des glucides,
mais pas des graisses.
On peut en conclure que le
piment rouge permet une utilisation
plus complète de
l’énergie alimentaire apportée
par les sucres.
D’autre part, le piment
rouge, pris en apéritif, réduirait
l’appétit et l’ingestion de
graisses et de protéines.
C’est ce qui ressort d’une
étude canadienne qui a évalué
les effets d’amusebouches
au piment rouge par
rapport à des apéritifs classiques
sur 10 hommes et
13 femmes.
L’avis
des spécialistes
Vous suivez un régime
pauvre en graisses ?
Pimentez vos plats !........vive chlitta....lu pour vous.
reste àconfirmer!!!!