Thamurth Ith Yaala
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 Un journaliste français à CHREA

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Rima
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le Natif
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MessageSujet: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeLun 30 Avr - 12:02

Un journaliste français s'est déplacé depuis la france jusqu'au village de Chréa avec tout son matériel de prise de vues et de son pour inclure dans un reportage la boigraphie du Chahid Tahar MADJENE, l'un des premiers chouhadas tué en france par la police pendant une manifestation le 14 juillet 1953.
Le Chahid Tahar MADJENE est né à Chréa où il est enterré au cimetiere Idhmimane sur le sentier qui mène de Chréa vers Thiguerth n'nadrar en passant par Thala Hamza.
Les photos prises le jour de l'arrivée du journaliste (21/04/2012) montrent celles du Chahid, de sa tombe, de son fils Ali MADJENE (barbu), de l'interview avec les quelques rares vieux de Chréa à l'esplanade de la mosquée, du passage par Thala Hamza.

Mrs Tikka et Missnchréa à vos plumes pour plus de détails et d'informations.
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Rima
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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeLun 30 Avr - 13:32


Merci beaucoup pour cette information .
Je ne connais pas ce chahid
On espère apprendre plus sur ce reportage .
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tikka
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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeLun 30 Avr - 14:49

Un grand merci le Natif,pour nous avoir fait decouvrir une page sur la manifestation du 14 juillet 1953...Ci joint un article sur un livre ecrit par Maurice Rajsfus
Lire : Rajsfus, « 1953, un 14 juillet sanglant »

Article publié dans Alternative libertaire le 30 mai 2003 dans le n° 118 (mai 2003)

Maurice Rajsfus met en lumière et dénonce, depuis de nombreuses années, avec un grand talent les basses oeuvres de la police française tout au long de l'histoire et jusque dans leurs développements les plus récents, les crimes policiers, appelés plus communément « bavures » et qui restent largement impunis. Dans son nouveau livre, il revient sur un épisode encore méconnu, la répression de manifestants nord-africains le 14 juillet 1953 à Paris, s'inscrivant pleinement dans la politique coloniale de l'Etat Français.

14 juillet 1953, ce jour-là comme tous les ans depuis 1936, le PCF et la CGT organisent une manifestation à Paris pour célébrer les idéaux de la République et depuis 1945 ceux de la Résistance.

Près de 10 000 personnes y participent et parmi elles 2 000 manifestant(e)s défilent derrière les banderoles du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD) le principal mouvement nationaliste algérien dirigé par Messali Hadj. La plupart sont algérien(ne)s, mais on y trouve aussi des Tunisien(nes) et des Marocain(e)s qui se battent pour la fin du colonialisme français dans leur pays.

Les militant(e)s nord-africains y brandissent des drapeaux algériens et scandent des slogans hostiles au colonialisme et en faveur de la libération de Messali Hadj et de l'indépendance. Autant de symboles qui vont entraîner une répression sanglante de la police française à l'encontre des Nord-africains lors de l'arrivée du cortège sur la place de la Nation.

La police ouvre le feu : bilan 7 morts [1] (6 ouvriers algériens et un ouvrier français, militant de la CGT) et une centaine de blessés. Le gouvernement de Joseph Laniel, président du Conseil, couvre la répression et soutient les policiers assassins.

Alors que les tensions se multiplient en Algérie et que le nationalisme accroît son influence dans la population, le pouvoir colonial n'entend tolérer aucune contestation de type nationaliste et séparatiste [2]. Si les Algériens ont le droit de vote, celui-ci est purement symbolique puisque le pouvoir colonial s'emploie régulièrement et au plus haut niveau à truquer les résultats des élections pour endiguer les progrès du MTLD.

Mémoire occultée

Ces faits qui se déroulent près d'un an et demi avant l'insurrection algérienne déclenchée par le FLN ont été occultés par la suite par les historien(ne)s de la IVe République et de l'Algérie comme par les partis de gauche. Les massacres du 17 octobre 1961 (longtemps occultés eux aussi) et la répression sanglante de manifestant(e)s au métro Charonne du 8 février 1962 par la police de Papon sont bien connus, mais qui a entendu parler de la répression de la manifestation du 14 juillet 1953 à part les contemporains ? Bien peu de monde assurément. De ces faits, on ne trouve aucune trace dans les archives consultables de la préfecture de police de Paris.

Aussi Maurice Rajsfus s'est appuyé sur les nombreux reportages de la presse quotidienne et périodique, mais aussi sur les prises de position de la presse syndicale, d'intellectuel(le)s et de politiques quelle que soit leur orientation partisane ou encore sur les débats concernant ces faits à l'Assemblée nationale. Enfin il donne la parole à des militantes et militants communistes présent(e)s sur les lieux de la fusillade et qui témoignent près de 50 ans plus tard.

Décidément la France a toujours un problème avec son histoire coloniale, qu'il s'agisse de la traite des noirs et du commerce triangulaire ou de l'oppression des peuples du Maghreb. Sans doute parce que le souvenir de la répression coloniale vient ternir l'image d'une France célébrant les valeurs de la résistance. Alors il faut oublier à tout prix ce que Maurice Rajsfus qualifie pourtant d'événement majeur de l'année 1953. Rien d'étonnant de la part de la droite et du Parti socialiste qui ont toujours soutenu sans états d'âme la politique coloniale de la France. Quant au PCF, s'il se proclame à l'époque solidaire des luttes des travailleurs nord-africains et revendique une extension de leurs droits, il rejette en revanche la revendication d'indépendance de l'Algérie.

Enfin, Maurice Rajsfus s'interroge sur le statut de la police dans notre société. Il le compare à celui d'une religion et assimile les violences dont elle se rend coupable à des dogmes indiscutables et immuables. C'est ce statut qui explique l'impunité dont elle jouit. C'est aussi lui qui explique son absence de mise en cause dans sa participation au génocide des Juifs mais aussi aux tueries du 14 juillet 1953 et du 17 octobre 1961.

L. E.

* Maurice Rajsfus, 1953, un 14 juillet sanglant, Agnès Viénot éditions, 239 pages, 14 euros.

[1] Il s'agit d'Abdallah Bracha, Larbi Daoui, Abdelkhader Draris, Isidore Illoul, Tahar Nadgène, Amer Tabjadi et Maurice Lurot.

[2] Entre 1950 et 1953 la police réprime de plus en plus violemment les manifestations auxquelles prennent part les nationalistes nord-africain(e)s. Elle procède à chaque fois à de nombreuses arrestations et ouvre parfois le feu sur les manifestant(e)s. Une police française raciste et excitée par une hiérarchie toujours prompte à surenchérir. Une police qui n'a toujours pas tourné la page de Vichy.

Le préfet de police est Jean Baylot, qui a réintégré de nombreux policiers révoqués en 1945;
Maurice Papon est secrétaire général de la Préfecture de Police.
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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeLun 30 Avr - 20:57

Merci Tikka pour les détails, vous êtes une vraie bibliothèque.
Effectivement le Chahid Tahar MADJENE se trouvait au premier rang des manifestants avec un drapeau algérien à la main. Le cortège des manifestants a marché de la place de la bastille à la Nation. L'enterrement du Chahid au village de Chréa s'est déroulé en présence d'une foule nombreuse (environ 1000 personnes) d'après les dires de son fils et sous le contrôle total de la gendarmerie française de l'époque.

Pour Rima, et pourtant vous avez cité le nom du Chahid dans le message que vous avez posté le dimanche 22/04 au point de passage n°10 du semi marathon international d'ith-yaâla.
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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeLun 30 Avr - 22:52

Voici un autre article paru dans le journal la dépêche de kabylie du 26/04/2012 dans lequel figure le nom du chahid TAHAR MADJDOUB au lieu de Tahar MADJENE

Le cimetière de Boukhalfa, à Amizour, sera le théâtre aujourd’hui d’un rendez-vous cinématographique important. Il s’agit du tournage de quelques séquences d’un film documentaire sur les événements tragiques du 14 juillet 1953 à Paris.

Ce jour là, suite à la répression policière française d’un cortège de nationalistes algériens du PPA-MTLD, ayant pris part à une manifestation des syndicats et des partis de gauche français, le bilan de ce carnage de la place de la Nation parisienne,fut de 7 manifestants tués dont 6 algériens et plusieurs blessés par balles. Parmi les victimes, l’on a compté Tahar Madjdoub, enterré à Guenzet, Abdellah Bacha, enterré à Tazmalt, Amar Tadjadith de Tigzirt, Abdelkader Dranis, enterré à Nedrouma, Daoui Larbi, à Aïn Sefra et Illoul Mouhoub, enterré à Boukhalfa, dans la commune d’Amizour. C’est justement au niveau de la tombe de ce Chahid non encore reconnu comme tel qu’aura lieu cette rencontre cinématographique pour recueillir des témoignages sur la vie et le parcours du martyr Mouhoub Illoul, tombé sous les balles assassines de la police le drapeau algérien à la main, comme nous l’a raconté son frère Mohand Saïd. Le film documentaire est du réalisateur français Daniel Kupferstein, lequel est déjà en Algérie pour les besoins de son projet de réalisation d’un film retraçant les péripéties de cette violente répression d’une manifestation pacifique le jour de la fête de l’indépendance de la France. Dans une lettre adressée aux maires des six communes où sont enterrés les victimes algériennes, le réalisateur de ce film documentaire dira qu’il compte venir pour filmer les tombes des victimes et retrouver des traces de leurs obsèques ou bien de la manifestation à Paris et bien avoir des discussions directes avec les membres de leurs familles. C’est à cet effet que la famille du martyr d’Amizour invite les citoyens à venir massivement assister au recueillement, et aussi à porter des témoignages devant les caméras sur le parcours et les obsèques du fils disparu. Cela relève d’un événement de taille, puisqu’il s’agit de ressusciter un événement historique néanmoins tragique d’avant la guerre de libération, lequel avait fait la Une des journaux français et étranglés à l’époque, mais depuis, cette histoire est enterrée avec ses victimes, les six fusillés algériens dont Mouhoub Illoul ne sont pas encore reconnus comme martyrs.

Nadir Touati
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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeLun 30 Avr - 23:41


Salut Le Natif ,
j'ai seulement copié les messages qui me sont parvenus concernant le semi marathon .
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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeMar 1 Mai - 1:26

Merci Le natif pour l'information, dsl, ces derniers jours je suis absent...
Allah yerhame Chouhada...
et la sur les photos je reconnais bien Lbaraka de Chrea Nos vieux ... eh oui notre région a bien de l histoire avec ce reportage qd meme, elle va s'exporterhorsde l'Algérie...
est ce qu'on peut avoir une info sur la diffusion de ce reportage?
merci encore le Natif
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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeMar 1 Mai - 1:34

Merci chers cousins et cousines le natif, tikka, GUENZETIEN,RIma ect...pour vos importantes interventions.
Je pense qu'il est de notre devoir à nous chers cousines et cousins d'investiguer et d'écrire notre Histoire, de parcourir le territoir pour recueillir les témoignages des derniers survivants oubliés, marqués à jamais par les atrocités de la guerre d'Algérie afin que les nouvelles générrations apprennent l'Histoire de l'Algérie.. Les journalistes étrangers ont réalisé des travaux importants sur l'histoire de notre révolution, ces travaux restent inaccessibles pour nous autres algériens (élèves, étudiants...). Quelques livres dans quelques bibliothèques sont disponibles, d'autres coûtent chers. Il reste le net!!
Tant de sujets brulants oubliés et ignorés par les algériens :
-- LA DÉPORTATION DES ALGÉRIENS EN NOUVELLE CALÉDONIE
-- LES VICTIMES DES ESSAIS NUCLÉAIRE DE LA FRANCE EN ALGÉRIE
-- ECT....








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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeMer 2 Mai - 20:44

le reportage sur cette fameuse journée du 14 juillet 1953 doit passer sur quelle chaine et quelle date, ?
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MessageSujet: Re: Un journaliste français à CHREA   Un journaliste français à CHREA Icon_minitimeMar 17 Juin - 16:39

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[b]Bonjour

Une belle affiche dessinée par Alain Frappier pour l'avant première de mon film "lLes Balles du 14 juillet 1953"

Cette projection est organisée par le maire du 2ème, des Ateliers du réel et de moi-même. Elle aura lieu 8 juillet à 19H30, salle Jean Dame à Paris 2ème.
C'est le jour d'une demi-finale de la coupe de monde de foot (22H) mais aussi pendant le ramadan. Cela dit, je suis sûr qu'il y aura quand même des gens qui viendront avec plaisir.

Pour ceux qui seront en vacances, ceux qui n'habitent pas à Paris ou ceux qui ne pourront pas, il y aura probablement d'autres occasions ?

A la fin de la projection, Il y aura un petit débat avec des témoins et historiens.

Et on terminera par un pot comme d'hab' mais il n'y aura pas de bal…

A très bientôt donc
Daniel Kupferstein

06 82 28 01 91



Résumé
Le 14 juillet 1953, un drame terrible s’est déroulé en plein Paris.

Au moment de la dislocation d’une manifestation en l’honneur de la Révolution Française, la police parisienne a chargé un cortège de manifestants algériens. Sept personnes (6 algériens et un français) ont été tuées et une centaine de manifestants ont été blessés ont plus de quarante par balles. Un vrai carnage.

Cette histoire est quasiment inconnue. Pratiquement personne n’est au courant de son existence. Comme si une page d’histoire avait été déchirée et mise à la poubelle. En France comme en Algérie.

Ce film, est l’histoire d’une longue enquête contre l’amnésie.

Enquête au jour le jour, pour retrouver des témoins, pour faire parler les historiens, pour reprendre les informations dans les journaux de l’époque, dans les archives et autres centres de documentation afin de reconstituer au mieux le déroulement de ce drame mais aussi pour comprendre comment ce mensonge d’Etat a si bien fonctionné.


Avant que les derniers témoins ne disparaissent, il est temps que l’histoire de ce massacre sorte de l’oubli.
[/bhttps://www.facebook.com/photo.php?fbid=10152506405571753&set=gm.588845324569186&type=1
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